Roll out 09 Tsigaro

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12/07/2017

Vivre à Kasane

Album des aventures au Botswana en 2016.
Attention : aucun avion ni prise de vue aérienne dans cet article!


J'ai beaucoup aimé vivre à Kasane. Avec le recul, une petite impression de travailler dans un centre de vacances.
Les touristes défilent par groupes à l'arrière des voitures de safari et l'activité s'organise autour d'eux. Ils ne voient rien d'autre que l'aéroport, le taxi qui les transfère à leur lodge dont ils connaissent plus le nom que celui de cette petite ville et que la plupart ne se donneront même pas la peine d'aller jeter un œil.
C'est vrai qu'il n'y a finalement pas grand chose à y faire, et que la plupart de nos occupations réside à nous rendre nous même à un lodge, seuls ou avec des amis. Pour y manger des plats touristiques au restaurant (pizza ou burger, quasiment rien de local), profiter de la piscine, du bar, de la connexion wifi ou de la vue.
Mais la vie de tous les jours réserve des surprises au charme très exotique et c'est bien plus palpitant que d'habiter dans une simple ville. Il suffit pour cela de prendre de petits itinéraires secondaires ou d'observer attentivement autour de soi.
Aperçu.

Un lodge typique.

Où nous habitons en bordure de ville, les éléphants viennent se régaler la nuit venue.

L'arbre dans notre jardin devait beaucoup plaire aux éléphants!

Coucher de soleil sur le Chobe quand on descend "en ville".

Au magasin d'alcool.

Malgré son air imposant, le Phacochère est plutôt tranquille.

Le foot, c'est un terrain de sable avec des cailloux. Éventuellement un éléphant en spectateur.

Il n'y a qu'à sauter dans son 4x4 et passer la grille pour partir à la découverte.

Un petit détour de quelques minutes et tout de suite c'est le safari.
Y'a plus qu'à s'ensabler et l'occupation est toute trouvée pour la demi-journée.

Kasane est caché juste là au pied des pentes

En s'écartant de la route.

La gestion des ordures, entre ceux qui les brûlent dans un trou au fond du jardin
et ceux qui les déposent pour le ramassage hebdomadaire.
Dans ce cas les phacochères et babouins passent se servir avant,
et si il y a du vent on en retrouve partout.

Devant une boutique.

En allant travailler... une pensée aux citadins dans les bouchons.

La signalisation routière, c'est du sérieux!


Surprise!! Trouvée dans la moustiquaire le matin! (une autre fois c'était dans la chaussure)
Il paraît qu'elle est pas dangereuse, mais elle s'en donne les airs en tout cas!

Ça n'est pas flagrant en voyant les photos, mais heureusement une araignée c'est beaucoup plus petit qu'un Baobab!

Y'a juste une heure, nos filles jouaient à courir dans le parc,
juste là où le jardinier vient de tuer au lance-pierre ce black mamba, réputé serpent le plus venimeux!

Un phasme, ça au moins ça ferait pas de mal à une princesse!

Ces araignées, y'en a partout. Très rapides et surtout très plates. Elle ne fait peur qu'au zoom.

Apercevoir des impalas dans le coin n'a rien d'exceptionnel.

Sur le sentier depuis le plateau vers le "centre-ville".

Mais c'est quoi donc que ce machin? (idéal pour souhaiter bonne nuit à la belle-famille en visite!) Un solifuge?
"Ne possède pas de venin et ne s'attaque pas à des proies plus grosses que lui"? T'aurais du le dire plus tôt!

Ils ont failli nous mettre en retard pour notre mariage ceux-là!

Patrouille d'Ibis Sacrés.

Des mangoustes sur le green.

On aime bien comme les locaux aller au bord du Chobe. On peut y voir des oiseaux...

Des traces de Lion qui s'avèrent être d'hippo...

...ou des traces d'éléphants et d'impalas.

Notre petit chez nous. (n°2)

Là on ne croise pas de touristes...

...ni là!

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